27 janv. 2009

On ne se rend pas compte finalement quand ça ne nous touche pas personnellement. On est triste, on soutient, et l'on se dit au fond de nous qu'on aimerait pas que ça nous arrive.

C'est dur de voir la chair de notre chair, notre petit bout, notre mini nous, hospitalisé et branché puis être impuissant face à ça. On a peur. On pleure. On prie. On positive.On aimerait prendre sa place pour ne plus qu'il souffre. Et puis, on le voit sourire alors on garde espoir.
Ces 3 jours ont été les plus durs et les plus longs. J'ai eu peur. Si peur...
Mais aujourd'hui il est là, il est revenu à la maison.



Je t'aime mon bébé.